Compagnies d’infanterie légère corse

infanterie légère

Compagnies d’infanterie légère corse de l’armée d’Italie :

Date de formation : hiver 1796-1797.

Historique :

Le 20 novembre 1796, le général Bonaparte ordonna au général Gentilli qui venait de réoccuper la Corse de faire passer à Livourne tous les Corses voulant prendre ou reprendre du service. Ils furent utilisés pour former 8 compagnies d’infanterie légère corse de 100 hommes chacune. Elles furent dirigées sur Milan au fur et à mesure de leur arrivée.

1ère compagnie d’infanterie légère corse :

La 1ère compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 11ème demi-brigade légère de seconde formation.

2ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 2ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 12ème demi-brigade légère de seconde formation.

3ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 3ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 20ème demi-brigade légère de seconde formation.

4ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 4ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 20ème demi-brigade légère de seconde formation.

5ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 5ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 18ème demi-brigade légère de seconde formation.

6ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 6ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 18ème demi-brigade légère de seconde formation.

7ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 7ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 17ème demi-brigade légère de seconde formation.

8ème compagnie d’infanterie légère corse :

La 8ème compagnie corse fut incorporée le 10 mars 1797, à l’Armée d’Italie, dans les rangs de la 17ème demi-brigade légère de seconde formation.

sehri

Article de Laurent Brayard