Bataillon de réquisition de Nogent-sur-Seine :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Nous ne connaissons pas sa destinée.
Bataillon de réquisition d’Arcis-sur-Aube :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Nous ne connaissons pas sa destinée.
Bataillon de réquisition de Bar-sur-Aube :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Nous ne connaissons pas sa destinée.
Bataillon de réquisition de Bar-sur-Seine :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Nous ne connaissons pas sa destinée.
Bataillon de réquisition d’Ervy :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Nous ne connaissons pas sa destinée.
Bataillon de réquisition du district de Troyes :
Date de formation : levée en masse d’août 1793.
Historique :
Bataillon de réquisition. Il est versé en partie dans les rangs du 1er bataillon de Paris au début de 1794.
1er bataillon auxiliaire de l’Aube :
Date de formation : 1799
Historique :
Il fut versé dans les rangs de la 76e demi-brigade de ligne en 1800[1].
Compagnie de grenadiers de l’Aube :
Date de formation : Formée en 1792.
Historique :
Ils étaient une centaine de grenadiers en janvier 1793, présents à Troyes[2].
Ils entrèrent dans la composition du 14ème bis bataillon de chasseurs, formé le 12 mars 1793, à Strasbourg avec une compagnie franche de Dordogne, la 1ère compagnie de chasseurs du Louvre, la 1ère compagnie de l’Egalité et la compagnie de Coutances.
Détachement de l’Aube :
Date de formation : 1793, unité provisoire.
Historique :
Présente à l’armée des Pyrénées-Orientales, détachement de Cabestany du chef de brigade Poinsot, et fort de 32 hommes[3].
Notes de Laurent B.
[1] Champeaux, Etat militaire de la République française pour l’an douze, dédié au Premier Consul d’après son autorisation, 4e partie, p. 150.
[2] Journal Militaire de 1793.
[3] Chuquet, Dagobert, p. 441 et 442.